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FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre (FACIL) est un organisme québécois sans but lucratif dont le mandat est de promouvoir l'adoption, l'usage et la démocratisation de l'informatique libre.
À propos du nom
L'acronyme FACIL signifie FACIL, pour l’appropriation collective de l'informatique libre. Il s'agit d'un acronyme récursif comme celui du projet GNU (GNU’s Not UNIX) de la Free Software Foundation.
Revue de presse APRIL
Au coeur de la campagne électorale provinciale, l'invitation a été lancée jeudi par l'Association pour l'appropriation collective de l'informatique libre (FACIL) à l'ensemble des candidats impliqués dans la course. Elle leur demande de prendre l'engagement formel de défendre le bien commun dans une société technologique en assurant la multiplication des logiciels non-privatifs partout au Québec en cas d'élection. Françoise David de Québec Solidaire et Henri-François Gautrin du Parti libéral ont signé ce que le FACIL présente comme le Pacte du logiciel libre.
Appel à tous les candidats à l'élection québécoise du 4 septembre 2012 - Pacte du logiciel libre - Élections 2012 - Un Pacte entre les citoyens et les élus pour la défense du bien commun dans une société technologique
MONTRÉAL, le 23 août 2012 /CNW Telbec/ - FACIL, association québécoise qui prône l'appropriation collective de l'informatique libre, invite les candidats de tous les partis à signer le Pacte du logiciel libre avant le vote du 4 septembre 2012.
L'informatisation ultra rapide de la société soulève des problèmes d'ordre éthique et politique sur lesquels ne peuvent rester muets des hommes et des femmes qui aspirent à représenter le peuple québécois dans son Assemblée nationale. Les logiciels privateurs de libertés, irrespectueux de notre vie privée et volontairement incompatibles qui opèrent la plupart de nos appareils numériques, l'inaccessibilité et la non-pérennité des données publiques, la fracture numérique entre les riches et les pauvres, la concentration de la propriété et du contrôle technologique par des multinationales au détriment du bien commun, sont des enjeux sur lesquels le milieu politique québécois doit prendre position et agir.
Rappelons que le bilan du gouvernement québécois dans le dossier informatique n'est pas particulièrement reluisant. En 2010, une institution publique, la Régie des rentes du Québec, a été reconnue coupable de violation de la loi par l'attribution d'un contrat de services informatiques sans appel d'offre. Quelques mois après l'adoption en juin 2011 de la Loi sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement, loi applaudie par FACIL comme un pas dans la bonne direction, le Conseil exécutif adoptait un décret (1111-2011) autorisant le contournement temporaire de la procédure d'appel d'offres qui ouvrait enfin la porte à l'informatique libre.
À une époque comme la nôtre, il est impératif de faire le choix collectif d'une informatique qui repose sur de solides principes d'éthique et permet d'espérer le développement d'une société québécoise toujours plus libre, juste et prospère dans laquelle les citoyens seront maîtres de la technologie et non l'inverse. Pour FACIL, cela signifie concrètement qu'il faut opter pour les logiciels libres, les données publiques libres, les standards ouverts et la neutralité du réseau Internet. Les citoyens québécois et leurs représentants élus doivent s'unir durablement pour défendre les libertés fondamentales et le bien commun au 21e siècle. C'est là le sens du Pacte du logiciel libre que FACIL propose aux électeurs du Québec.
Pour télécharger le Pacte du logiciel libre :
www.facil.qc.ca/fr/pacteLogicielLibre
http://facil.qc.ca/sites/facil.qc.ca/files/PacteLLQuebec.pdf
SOURCE : FACIL
Renseignements :
Daniel Pascot, président de FACIL
418-656-2131 poste 3645
ca@facil.qc.ca
André Poulin, candidat de Québec solidaire dans Saint-François a pris officiellement position en faveur de la promotion du logiciel libre et d'une plus forte présence de celui-ci dans l'administration publique.
À cet égard, il a signé le Pacte du Logiciel Libre de la FACIL, une organisation visant l'appropriation collective de l'informatique libre. M. Poulin invite également les candidats des autres partis à faire de même.
Le milieu technologique ne désire pas être en reste dans le cadre de la campagne électorale québécoise; FACIL, une association québécoise qui prône l’appropriation collective de l’informatique libre, a en effet lancé jeudi un appel à tous les candidats politiques à signer le Pacte du logiciel libre avant le scrutin du 4 septembre prochain.
Ceux qui nous connaissent savent que nous sommes partisans d’une plus grande utilisation des logiciels libres. Nous constatons souvent dans notre travail (enseignements et recherches en lien avec les technologies éducatives), qu’ils sont méconnus. Conséquemment, des décideurs agissent à partir de savoirs qui ne sont pas à jour, voire incomplets. Les logiciels libres pourraient pourtant aider l’école québécoise à gérer ou intégrer plusieurs « différences ». Voici, en quelques lignes, une présentation des logiciels libres et, surtout, une petite discussion à propos de la valeur ajoutée potentielle et des avantages que ces logiciels pourraient apporter.
Intéressant pour savoir le rôle de la GRICS dans le projet de loi C-133 - voyez aussi la section "En lien ave l'enregistrement".
Depuis 2004, Québec a dépensé 3,5 milliards pour 6900 contrats de technologie. Plus de la moitié de la valeur des contrats sont allés à trois grandes firmes : TELUS, DMR et CGI.